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Maladies du Vampirisme
LES "MALADIES" DU VAMPIRISME
La première, et de loin la meilleure explication sensée est la rage. C’est en effet la maladie qui présente le plus grand nombres de symptômes communs au vampirisme.
Les patients atteints par la rage développent un comportement agressif, une forte tendance à baver et donc à dévoiler les dents.
En fin de maladie, les indices concordent encore plus : les malades développent une hypersensibilité à la lumière, une peur de l’eau qui peut déclencher des réactions violentes en cas de contact avec un liquide et une sensibilité aux odeurs fortes qui pourraient expliquer pourquoi ils ne tolèrent pas l’ail.
Enfin, deux petits indices, non des moindres : la rage se transmet par morsure d’animal à humain, mais aussi de humain à humain, et les premiers témoignages en Europe de l’Est (berceaux des premiers vampires) coïncident étrangement avec la première épidémie de rage…
Bien évidemment il existe d’autres maladies, et citons par exemple la Xeroderma pigmentosum autrement appelée la " maladie du vampire " : il s’agit d’une hypersensibilité de la peau à la lumière du soleil, due à un défaut génétique. Ce même défaut provoque une fragilité des gencives et donc une mauvaise implantation des dents. L’ail est à éviter à cause des réactions violentes des malades, causées par la libération d’une enzyme agressive pour l’organisme malade.
L’insomnie, l’hydrophobie, l’hyperesthésie (sensibilité à la lumière), la porphyrie (défaut de dégradation du sang et malformations dentaires) et la tuberculose (mode de transmission identique au vampirisme) sont encore d’autres possibilités pour rationaliser l’existence des vampires.
(Ecrit par Laetitia)
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Commentaires
1visiteur_LiliSamedi 24 Mai 2008 à 11:06et les albinos ?? j'étais persuadé que ça avait a voir avec les vampire ... XDRépondre2Roman CookeSamedi 20 Décembre 2008 à 17:24Dans la Gr? antique, les ombres du royaume d'Had?sont friandes du sang des victimes[2]. Les Anciens craignaient l?errance sur Terre s?ils n??ient pas enterr?par leur famille ou leurs amis car le repos d?nitif venait de l?incin?tion, ce qui explique le mythe de Polynice. Arist? Platon et D?crite soutenaient que l'? peut demeurer aupr?des morts priv?de s?lture. Les ?s malheureuses et errantes se laissent alors attirer par l'odeur du sang. On peut se r?rer ?orphyre de Tyr (Des sacrifices, ch. II « Du vrai culte »). Les devins se servaient alors de ces ?s pour deviner les secrets et tr?rs. Ayant connaissance de leur pr?nce, les hommes cherch?nt des moyens pour les apaiser ou les contrer. En Cr?, selon Pausanias, on enfon?t dans la t? de certains morts un clou. Ovide aussi parlera des vampires. Th?rite note aussi les empuses (spectres multiformes de la nuit pouvant se muer en monstres innommables ou en cr?ures de r?, aussi appel? d?ns de midi).
Dans l'Empire romain, on trouve la loi Jus Pontificum selon laquelle les corps ne devaient pas ?e laiss?sans s?lture. De plus, les tombes ?ient prot?es contre les voleurs et ennemis. Les violations ?ient consid?es comme sacril? et punies de mort. On rencontre Lamia, une goule n?ophage, reine des Succubes d?rant les f?tus et effrayant les enfants la nuit (Horace, Art po?que, 340). De Lamia viennent les lamies, plus n?ophages que vampires : lascives, ondoyantes, serpentines, avides de stupre et de mort, aux pieds de cheval et aux yeux de dragon. Elles attiraient les hommes pour les d?rer et peuvent s'apparenter aux Succubes. On note aussi les stryges, d?ns femelles ail? munies de serres, ainsi nomm? ?ause de leurs cris per?ts, et les omosceles, d?ns aux pieds d'?s qui s'attaquaient aux voyageurs ?r?..
Moyen §e [modifier]
Au XIIe si?e, les vampires ?ient cens??e si nombreux en Angleterre qu'ils ?ient br? pour calmer la passion populaire. Plus tard, au XIVe si?e, Herenberg cite pr?s?nt deux cas en 1337 et 1347 : les pr?m?coupables de vampirisme furent empal?et br?. De m?, au XVe si?e, les ?d?es de pestes sont l'occasion pour la population (surtout en Europe de l?Est) d'une v?table fr?sie anti-vampire. On voit appara?e au XVIe si?e, la premi? grande figure du vampirisme : la comtesse hongroise Elizabeth B?ory. En Moravie, l'?que d'Olm? devant la multiplication des plaintes des villageois de la r?on, mit sur pied des commissions d'enqu?s. Le premier cas de vampirisme attach? un nom et ?di?n tant soit peu est celui Michael Casparek, en 1718. Son cas fit l'objet d'une enqu? officielle, dans son petit village de Liptov en Hongrie. Malheureusement, tr?peu de donn? ont pu parvenir jusqu'?ous. Le mot « vampire » appara?pour la premi? fois en 1725, lorsqu'un rapport pr?nte l'exhumation du r?mment mort Peter Plogojowitz un paysan serbe, qui reste encore ?e jour le cas le plus c?bre de vampire historique dans le monde. Vient ensuite celui d'Arnold Paole, soldat et paysan autrichien mort en 1726 et ?'origine de deux ?d?es de « vampirisme » dont la seconde, en janvier 1731, fit l'objet d'un rapport circonstanci?ar le m?cin militaire Johann Fl?nger, g?ralement connu sous le titre de Visum et Repertum. Ce rapport fut abondamment repris, traduit par Dom Calmet, et fit probablement couler encore plus d'encre que le cas Plogojowitz (pour les Serbe). Le plus c?bre reste cependant Sava Savanović. Auparavant, on parlait de « vampyr ». Un autre cas de vampirisme est celui de Johannes Cuntius de Sil?e.
Le vampirisme ?it pour l'?lise catholique (et pour Dom Calmet en particulier) un sujet s?eux et politique (?a mani? de la B? du G?udan). Les ?s des morts ont trois alternatives : Paradis, Enfer ou Purgatoire. Or le vampire est un mort qui ne se retrouve dans aucune de ces trois cat?ries, puisque c'est une ? qui erre sur Terre. Sa simple existence remet donc en cause le dogme catholique et donc la puissance de l'?lise.
Voilla pourquoi ont nous dits que les Vampires et toutes autres entit? non humaines n'existe pas car le pouvoire de l'Eglise serai remis en cause
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